Série LAdultère : (Partie 1) Barbara : Comment JAi Trompé Mon Mari Pour La 1Ère Fois
Samedi 18 avril 2020
Je mappelle Barbara, je profite de la plume de lauteur « Perruche » qui ma beaucoup aidée pour raconter mon histoire. Je suis une femme comme beaucoup dautre, je me trouve quelconque, même si dans mon entourage, on me dit que jai des beaux yeux et de belles formes. En fait, je mesure 1,60 m pour 49 kilos avec une poitrine correcte, bonnets 90B et des fesses charnues et musclées. Jai 40 ans, mariée avec Olivier depuis 15 ans, avec lequel nous avons eu un petit garçon Théo, âgé de 12 ans et je suis professeure des écoles.
Ce matin-là, ne travaillant pas le mercredi, javais rendez-vous à 10 heures avec le chauffagiste qui devait intervenir pour lentretien de notre chaudière. Olivier venait de partir au travail, Théo était encore dans sa chambre en train de dormir quand la sonnette retentit. Il était 7h50, jétais nue prête à passer sous la douche. Machinalement, je remis ma petite culotte mais comme je ne pouvais pas ouvrir en nuisette, jenfilai le seul peignoir disponible, celui de mon mari, avant douvrir la porte.
Je pensais que cétait le facteur pour un colis que jattendais. Lorsque jai vu ce trentenaire devant moi avec sa boite à outils, javais tout de suite flashé sur lui. Il me faisait penser aux playboys que lon voyait à la télévision dans les émissions de téléréalité. Je me sentais toute bête, pas coiffée, pas maquillée et pas du tout élégante, dans un peignoir dhomme bon marché. Ce beau garçon en pantalon de travail impeccable et teeshirt blanc immaculé, lui moulant son torse puissant, me sortit de ma torpeur en disant :
Bonjour Madame, je suis Sébastien, je suis le chauffagiste.
Mais Monsieur Morillon devait passer quà dix heures.
Justement, je le remplace, il a pris sa retraite et comme vous habitez à 500 m de chez moi, je me suis permis.
Excusez-moi, jallais prendre la douche et me préparer
Je reviendrai après ma tournée dans ces cas-là, mais pas avant 11h30 en rentrant chez-moi.
Je devais emmener Théo à 11 heures, chez le médecin, ne pouvant pas le recevoir en fin de matinée, je le fis entrer. Habituellement, je laissais toujours Monsieur Morillon, pendant la petite demi-heure dintervention, mais je ne sais pas pourquoi, je nétais pas parvenue à quitter cet homme. Il mexpliquait tout ce quil faisait, je lécoutais sans lentendre, je narrivais pas détourner mon regard de ses yeux, lorsquil me regardait où de son corps musclé ou ses fesses lorsquil intervenait manuellement sur la chaudière. Cet homme me faisait frissonner.
Jamais je ne faisais cela avec lancien chauffagiste, mais ce jour-là je linvitai à monter boire le café à la cuisine pendant que je remplissais le chèque de lintervention. Il me parla de son métier, mexpliquant quil aimait son travail mais aussi le contact avec les clients :
Surtout les clientes. Dit-il en riant.
Je ne relevai pas, lorsquil sétait mis debout, avec une tête de plus que moi, il mimpressionna et lorsque je lui avais tendu le chèque, il le prit et me tint la main un instant, ce qui mélectrisa :
Vous avez des yeux magnifiques Madame. Me dit-il et rajouta en me souriant. Vous êtes très bien foutue, tout à fait le genre de femme que jaime.
Ma main dans la sienne, je restais immobile, pétrifiée, je sentais que ma petite culotte mouillait, je ne savais plus quoi faire, dautant plus que son autre main écartait le revers du col laissant apparaitre mon sein gauche. Me voyant très gênée, il avait compris quil me plaisait, il sétait penché vers moi, me déposa un petit baiser dans le cou, juste au-dessus de ma poitrine. En me tendant un postit où un numéro de portable était inscrit, il me dit à loreille :
Appelez-moi vite, je me sauve.
Je métais trouvée toute conne, sans pouvoir rien dire, cet homme me dominait, je lavais raccompagné et lorsquil me tendit ses lèvres avant de partir, je navais pas refusé de lui offrir les miennes.
Bien au contraire, je ne pensais, même pas faire une chose pareille tellement je l'aimais. « Pourquoi avais-je embrassé et désiré cet homme ? » je ne trouvais pas la raison de mon acte ! Mais en y réfléchissant bien, nous avions peut-être pris des mauvaises habitudes avec Olivier, mon homme était plutôt pantouflard et il aimait sa routine, il rentrait du travail ne s'occupait que de lui, quelque fois de son fils, le week-end cétait pareil, mis à part son sport et son association, nous ne sortions plus beaucoup. Cétait probablement l'envie de connaitre une nouvelle sensation qui me trottait dans la tête. Javais probablement besoin de vivre et de me laisser aller afin de mépanouir, pourtant j'adorais mon mari mais il me manquait sans doute cette passion avec lui. Je sortais seule faire les courses, je moccupais des devoirs de notre fils, je lemmenais au foot et je faisais seule toutes les tâches ménagères.
Javais pensé à Sébastien toute la journée, je ne pouvais pas men empêcher. Le soir, lorsquOlivier alla sur son ordi, il mappela pour me reprocher davoir jeté le postit quil avait sorti de la corbeille et quil agrafa à la facture en râlant :
Pourquoi tu as jeté le N° à appeler en cas durgence pour la chaudière.
Je ne sais pas chéri
Lui répondis-je en lisant le mot. « En cas de panne : 06 .. .. .. .. » Je nai pas fait attention. Au fait, Monsieur Morillon est en retraite. Dis-je pour changer de conversation.
Oui ! Je sais, cest Sébastien qui le remplace, je le connais bien nous courons ensemble et il est un membre de notre assos.
Ah oui
Fis-je comme si cela ne mintéressait pas.
Tu verrais les gonzesses quil se paye, il en change toutes les semaines le type. Il habite à côté et cest le défilé chez lui, il est toujours connecté sur Plan-cul.com.
Javais vite changé de conversation en parlant de Théo et je repris mes tâches journalières avant de nous coucher. Je narrivais pas à dormir, je savais que le jeudi soir, Olivier partait à ses réunions hebdomadaires et ne revenait que tard dans la nuit. Lidée me tournait dans la tête, je voulais me retrouver seule avec Sébastien pour connaitre le frisson du gout de linterdit. Je métais levé et regardai sur le site de rencontres. Sébastien était bien en ligne, après avoir choisi un pseudo « Babe40 », en quelques clics, je métais inscrite aussi. Jétais restée à regarder son profil pendant plus de 10 minutes, jétais subjuguée par ce garçon aux yeux bleus. Par peur et appréhension, je nétais pas parvenue à lui envoyer un message, je métais recouchée en pensant à lui, mon vagin était rempli de cyprine, je navais pas hésité de me finir à côté de mon mari qui dormait comme un loir.
Ce gars me rendait folle, toute la semaine, même au travail, je pensais à lui, tous les soirs, je regardais son profil sans jamais correspondre avec lui, je ne voulais pas franchir le cap puis tellement excitée, je me masturbais. Comme le hasard fait bien les choses, javais trouvé lexcuse de dire que cétait le destin. En effet, nous étions invités à un repas de voisinage avec des amis et quelle fut ma surprise de voir apparaitre Sébastien aux bras dune super jeune fille, lui aussi se trouvait parmi la bonne vingtaine de personnes dans le jardin dun de nos voisins.
Je métais habillée en conséquence, une petite robe dété rouge, assez courte et moulante me mettant en valeur, des nu-pieds brillants, quelques bijoux fantaisie et le léger maquillage parachevait mon style de femme ingénue et innocente.
Puis lorsque nous étions à la buvette, le ciel sassombrit très rapidement. Comme en plein été, il nétait pas rare de recevoir un orage violent, le propriétaire demanda à chacun de laider pour rentrer à labri dans limmense salle de vie de sa grande villa, vidée des meubles pour loccasion. La pluie commença à tomber, chaque personne portait quelque chose dans ses mains pour mettre tout à lintérieur et rapidement, la pluie redoublait dintensité, il pleuvait des cordes.
Je métais retrouvée seule à lextérieur, jétais trempée voulant prendre un dernier panier de verres. Ce fut Sébastien, me voyant ainsi qui vint à mon secours, le tissu de ma robe collait à ma peau, les tétons érigés de mes seins nus sous ma robe semblaient vouloir déchirer le polyester :
Quils sont beaux ! Me dit-il doucement en me posant sa veste sur mes épaules. Viens vite à labri. Rajouta-t-il.
Très discrètement en mettant son blaser sur moi, il mavait caressé mon derrière, en passant son majeur sur la raie de mes fesses bien visible par le tissu collé à ma peau. Je lui souris sans rien dire, il me désirait tout autant que moi, jen était certaine maintenant. La propriétaire des lieux, nous dirigea vers la buanderie, nous devions nous changer :
Attendez-moi là, je vais vous chercher des changes.
Nous navions pas attendu, une fois seuls, nous nous sommes jetés lun sur lautre dans un baiser fougueux qui mavait semblé durer une éternité, lui comme moi nous navions pas envie de nous séparer. Il me caressait les fesses et les seins, je sentais sa verge durcie contre mon ventre, cétait très sensuel et excitant mais le bruit dans lescalier nous fit stopper nos ardeurs. Martine avait apporté un teeshirt et un survêtement un peu court pour Sébastien et ayant sensiblement la même taille, elle mavait prêtée une de ses robes courtes que jenfilai sans remettre mon string qui était à tordre. Puis nous étions retournés chacun auprès de nos compagnons respectifs sans nous dire quoique ce soit. Martine la pipelette, ne devait surtout pas se douter du courant qui passait entre nous.
Ce ne fut que bien plus tard, lorsque Guy le mari de Martine et Olivier le mien, étant partis dans une grande discussion que je sortis fumer une cigarette après avoir montré clairement à Sébastien qui avait toujours un il sur moi, mon envie de le voir. Il ne pleuvait plus mais le temps était resté maussade, je courus vers labri se trouvant vers la piscine et jallumai ma cigarette en attendant lhomme de mes rêves érotiques. Je nétais pas restée seule très longtemps, Sébastien me rejoignait déjà. Notre étreinte repris là où nous lavions laissée. Lui non plus navait pas remis son slip, il me fit accroupir, sa queue était belle, assez large et en érection. Il me dit de sucer son gland. Je descendais ma langue le long de son pénis, le léchant en lui caressant ses bourses. Je le pris entre mes lèvres, descendant ma bouche le plus possible pendant que je le branlais doucement, ne voulant pas quil jouisse tout de suite, car il commençait à râler de satisfaction et jaccélérais un peu le mouvement. Puis il me dit darrêter.
Sébastien me releva, me retourna en me saisissant assez sauvagement, me fit me pencher en avant les bras appuyés sur les planches me retroussa la robe et me pénétra à la limite de la brutalité. Javais tellement mouillé depuis plus dune heure en pensant ce que jallais faire avec mon futur amant, quil glissa en moi sans aucune difficulté. Comme javais très apprécié sa queue allant et venant en moi que mon orgasme fut soudain et violant. Je me crispais en me retenant de crier ma joie et ma jouissance. Je tendais mes fesses au maximum afin que la pénétration soit plus profonde. Je fus déçue lorsquil se retira rapidement :
Tas déjà joui ? Demandais-je tristement.
Non ma poule ! Je vais tenculer.
Je ne voulais pas mais cétait trop tard et je naurais pas osé le lui refuser, il passa son doigt afin de préparer la dilatation de mon anus et lorsquil vit que jétais en train de mouiller de désir, il me sodomisa. Lentement au début, il senfonçait en moi progressivement mais de plus en plus. Puis lorsquil était entré jusquà la garde, ses va et viens furent plus rapides, plus forts et plus profond. Il y avait bien longtemps que je navais connu un tel plaisir, un tel bonheur, jobtiens vite un nouvel orgasme et lorsquil sétait retiré après avoir éjaculé dans son préservatif, jaurais voulu que cet instant se poursuive mais il remit son pantalon de jogging :
Jy vais, Cindy va simpatienter. Appelle-moi demain. Dit-il.
Jétais très déçue, jaurais tant voulu quil membrasse, je voulais lui dire que ce fut magique. Mais au contraire, il me laissa là comme une vieille chaussette. Le comble cétait que je ne lui en voulais même pas, cétait à moi que jen voulais. Cétait horrible ce qu'il m'arrivait, je ne pensais jamais en arriver là ! Jétais retournée voir mon mari qui me voyant assez triste, membrassa en me disant quil fallait que lon rentre.
Dès le soir même, je culpabilisais, non seulement javais trompé Olivier presque sous son nez mais en plus, je métais offerte à Sébastien, un amant d'un soir, en acceptant aussi facilement des choses que je n'autorisais plus de mon mari depuis longtemps. Je ne lui faisais plus de fellation, je ne voulais pas quil me sodomise et avec Sébastien, javais tout accepté sans rien dire comme une soumise. Cétait sans doute ce qui m'avait le plus choquée, javais vraiment l'impression d'avoir été une salope mais en même temps, j'avais vécu un moment merveilleux. Javais vraiment honte, il fallait que je me confie à Olivier mais comment le dire à son mari. Quelle réaction allait-il avoir ?
Chères lectrices et chers lecteurs, jaimerais votre sentiment. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Bisous Barbara
Si, comme Barbara vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email. Vous me donnez un petit résumé puis avec le jeu des questions, réponses, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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